- EAN13
- 9782702153482
- ISBN
- 978-2-7021-5348-2
- Éditeur
- Calmann-Lévy
- Date de publication
- 27/09/2013
- Collection
- Cal-Lévy-France de toujours et d'aujourd'hui
- Nombre de pages
- 352
- Dimensions
- 23 x 15 x 2,5 cm
- Poids
- 414 g
- Langue
- français
Pas plus tard que l'aurore
roman
De Georges-Patrick Gleize
Calmann-Lévy
Cal-Lévy-France de toujours et d'aujourd'hui
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Vendu par Librairie Pages d'encre19.50
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«Certains perdent un bras ou une jambe dans cette guerre... Moi, c’est la mémoire...
– Ainsi vous ignorez tout de votre passé?
– Hélas oui, monsieur!
– Nulle réminiscence ?
– Pas la moindre bribe... Je suis aussi neuf qu’un bébé qui vient de naître!»
En mars 1916, dans les tranchées de Verdun, un soldat français amnésique est capturé par les Allemands. Baptisé du nom de Charles Marre, le prisonnier est transféré en France à la faveur d’un échange de grands blessés. À l’hôpital de Toulouse, Charles s’éprend d’une jeune femme de la haute société, engagée comme infirmière volontaire.
En 1919, la paix revenue, Jeanne Pujol, institutrice et femme d’instituteur, ne peut croire à la mort de son mari, disparu sur le front. Mais après avoir rencontré le capitaine qui commandait le secteur, elle doit se rendre à l’évidence: il est impossible qu’il ait survécu.
Vingt-quatre ans plus tard, en juin 1940, dans une France qui plonge dans les heures noires de la défaite, Charles est victime d’un accident de voiture. Il recouvre la mémoire perdue… N’était-il pas jadis instituteur en Ariège?
Par l’auteur de La Fille de la fabrique, un beau roman tendre et amer qui restitue avec brio les lendemains endeuillés de cette immense loterie du destin que fut la Grande Guerre
– Ainsi vous ignorez tout de votre passé?
– Hélas oui, monsieur!
– Nulle réminiscence ?
– Pas la moindre bribe... Je suis aussi neuf qu’un bébé qui vient de naître!»
En mars 1916, dans les tranchées de Verdun, un soldat français amnésique est capturé par les Allemands. Baptisé du nom de Charles Marre, le prisonnier est transféré en France à la faveur d’un échange de grands blessés. À l’hôpital de Toulouse, Charles s’éprend d’une jeune femme de la haute société, engagée comme infirmière volontaire.
En 1919, la paix revenue, Jeanne Pujol, institutrice et femme d’instituteur, ne peut croire à la mort de son mari, disparu sur le front. Mais après avoir rencontré le capitaine qui commandait le secteur, elle doit se rendre à l’évidence: il est impossible qu’il ait survécu.
Vingt-quatre ans plus tard, en juin 1940, dans une France qui plonge dans les heures noires de la défaite, Charles est victime d’un accident de voiture. Il recouvre la mémoire perdue… N’était-il pas jadis instituteur en Ariège?
Par l’auteur de La Fille de la fabrique, un beau roman tendre et amer qui restitue avec brio les lendemains endeuillés de cette immense loterie du destin que fut la Grande Guerre
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