- EAN13
- 9782334076425
- Éditeur
- Edilivre – Aparis
- Date de publication
- 02/03/2016
- Collection
- Collection Classique
- Langue
- français
La Bâtarde : autopsie d’une enfance bafouée
Préface de Sophie Marinopoulos
Mademoiselle B.
Edilivre – Aparis
Collection Classique
Autre version disponible
Mademoiselle B. retrace sa douloureuse enfance, passée dans une misère sociale
et affective à la périphérie d'une grande ville de l'Ouest. L'écriture est un
moyen d'expression salvateur, réparateur, pour comprendre la femme qu'elle est
devenue. L'auteure est « née d'un amour adultérin », mais le mari trompé reste
avec sa femme qu'il met sur un piédestal. Elle se décrit comme une « bâtarde »
qui, pour ne rien arranger, naît avec une grave pathologie cardiaque. Elle
raconte les corvées ménagères, les coups reçus par ses parents alcooliques, la
négligence dont ils font preuve à l'égard de leur progéniture livrée à elle-
même, le terrible spectacle de leurs violentes disputes. La petite fille subit
plusieurs agressions sexuelles, dont elle se sentira longtemps coupable.
Paradoxalement, ses séjours en maisons de repos lui apportent réconfort et
stabilité. Elle y trouve un équilibre hors de ce foyer malsain et découvre peu
à peu ce qui la différencie du « clan » qui s'est formé contre elle. Elle
n'oublie cependant pas les quelques moments d'accalmie durant lesquels elle
goûta un bonheur éphémère avec eux. Rebelle et aimant s'amuser, cette bonne
élève donnera du fil à retordre à ses professeurs. À quatorze ans, elle décide
de se libérer définitivement du joug parental.
et affective à la périphérie d'une grande ville de l'Ouest. L'écriture est un
moyen d'expression salvateur, réparateur, pour comprendre la femme qu'elle est
devenue. L'auteure est « née d'un amour adultérin », mais le mari trompé reste
avec sa femme qu'il met sur un piédestal. Elle se décrit comme une « bâtarde »
qui, pour ne rien arranger, naît avec une grave pathologie cardiaque. Elle
raconte les corvées ménagères, les coups reçus par ses parents alcooliques, la
négligence dont ils font preuve à l'égard de leur progéniture livrée à elle-
même, le terrible spectacle de leurs violentes disputes. La petite fille subit
plusieurs agressions sexuelles, dont elle se sentira longtemps coupable.
Paradoxalement, ses séjours en maisons de repos lui apportent réconfort et
stabilité. Elle y trouve un équilibre hors de ce foyer malsain et découvre peu
à peu ce qui la différencie du « clan » qui s'est formé contre elle. Elle
n'oublie cependant pas les quelques moments d'accalmie durant lesquels elle
goûta un bonheur éphémère avec eux. Rebelle et aimant s'amuser, cette bonne
élève donnera du fil à retordre à ses professeurs. À quatorze ans, elle décide
de se libérer définitivement du joug parental.
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