« Un chien qui crève ! / M’ont crié des enfants ; voilà tout ce que c’est. »
L’animal domestique se réduit-il à si peu de chose ? L’école des chiens
n’aborde pas de front la question, mais elle y répond dans la mesure où son
écriture témoigne de l’importance du lien qui, même à travers la mort, unit le
narrateur à son animal de compagnie. La vie du chien semble insignifiante,
tant elle est constituée de répétitions. Pourtant, au fil des jours, se trame
une véritable histoire, emplie de petits rebondissements et de grands
enseignements. À la fin, l’attachement atteint des proportions telles que le
maître esseulé ne peut que tenter d’insuffler un certain regain aux cendres
éteintes de son vieux compagnon.
L’animal domestique se réduit-il à si peu de chose ? L’école des chiens
n’aborde pas de front la question, mais elle y répond dans la mesure où son
écriture témoigne de l’importance du lien qui, même à travers la mort, unit le
narrateur à son animal de compagnie. La vie du chien semble insignifiante,
tant elle est constituée de répétitions. Pourtant, au fil des jours, se trame
une véritable histoire, emplie de petits rebondissements et de grands
enseignements. À la fin, l’attachement atteint des proportions telles que le
maître esseulé ne peut que tenter d’insuffler un certain regain aux cendres
éteintes de son vieux compagnon.
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