- EAN13
- 9791022607568
- Éditeur
- Anne-Marie Métailié
- Date de publication
- 15/03/2018
- Collection
- Bibliothèque Hispano-Américaine
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
Autre version disponible
-
Papier - Anne-Marie Métailié Neuf 21,50Occasion 4,00
La vie est un match de boxe, tendance lucha libre.
À Caracas aujourd'hui il faut aussi survivre aux balles perdues et aux
pénuries chroniques.
Donizetti, fonctionnaire ordinaire, bonhomme et maladroit, chargé de convoyer
de mystérieuses valises à travers le monde, veut juste gagner de quoi faire
vivre ses deux familles, dont un fils taiseux et une ex-femme qui fait des
fleurs en porcelaine.
Mais à force de prendre des coups sans trop savoir d'où ils viennent, on finit
par s'énerver.
Avec Manuel, ami d'enfance, fan de boxe, qui survit en travaillant dans le
magasin de chaussures de ses parents, ils vont tenter de prendre une revanche
éclatante et définitive sur tous les profiteurs corrompus, les espions cubains
et les mafias russes, la seule façon, peut-être, de survivre au marasme.
Oscillant sans cesse entre le roman noir et l'épopée kafkaïenne, Méndez Guédez
nous plonge avec ses deux losers magnifiques dans un monde où la réalité est
toujours plus délirante que n'importe quelle fiction. C'est drôle, tragique,
et terriblement littéraire.
À Caracas aujourd'hui il faut aussi survivre aux balles perdues et aux
pénuries chroniques.
Donizetti, fonctionnaire ordinaire, bonhomme et maladroit, chargé de convoyer
de mystérieuses valises à travers le monde, veut juste gagner de quoi faire
vivre ses deux familles, dont un fils taiseux et une ex-femme qui fait des
fleurs en porcelaine.
Mais à force de prendre des coups sans trop savoir d'où ils viennent, on finit
par s'énerver.
Avec Manuel, ami d'enfance, fan de boxe, qui survit en travaillant dans le
magasin de chaussures de ses parents, ils vont tenter de prendre une revanche
éclatante et définitive sur tous les profiteurs corrompus, les espions cubains
et les mafias russes, la seule façon, peut-être, de survivre au marasme.
Oscillant sans cesse entre le roman noir et l'épopée kafkaïenne, Méndez Guédez
nous plonge avec ses deux losers magnifiques dans un monde où la réalité est
toujours plus délirante que n'importe quelle fiction. C'est drôle, tragique,
et terriblement littéraire.
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