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Papier - Hermann 28,00
Balagan, mot russe d’origine turque qui est entré dans l’hébreu moderne au
début du xxe siècle à partir du yiddish, signifie désordre. Dans les familles
juives de la troisième génération après la Shoah, on constate un «?désordre?»
intérieur à l’œuvre. De fait, nombreux sont les candidats à l’émigration :
certains s’expatrient à Berlin, d’autres en Israël, tandis que d’autres encore
rêvent d’Amérique. Partant de la notion freudienne d’identité intérieure, ce
livre interroge ainsi l’identité de cette génération parfois amenée à se
déplacer et qui est motivée par ce balagan intérieur. Il s’agit ici de
questionner l’histoire et d’examiner les raisons qui poussent cette génération
au déplacement – qui ne sont pas les mêmes que celles de leurs parents et
grands-parents –, à l’heure de la mondialisation.
début du xxe siècle à partir du yiddish, signifie désordre. Dans les familles
juives de la troisième génération après la Shoah, on constate un «?désordre?»
intérieur à l’œuvre. De fait, nombreux sont les candidats à l’émigration :
certains s’expatrient à Berlin, d’autres en Israël, tandis que d’autres encore
rêvent d’Amérique. Partant de la notion freudienne d’identité intérieure, ce
livre interroge ainsi l’identité de cette génération parfois amenée à se
déplacer et qui est motivée par ce balagan intérieur. Il s’agit ici de
questionner l’histoire et d’examiner les raisons qui poussent cette génération
au déplacement – qui ne sont pas les mêmes que celles de leurs parents et
grands-parents –, à l’heure de la mondialisation.
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