Les insulaires et autres romans (noirs)
EAN13
9782843045103
ISBN
978-2-84304-510-3
Éditeur
Zulma
Date de publication
Collection
Littérature française
Nombre de pages
528
Dimensions
19 x 12,5 x 3,5 cm
Poids
502 g
Code dewey
849

Les insulaires et autres romans (noirs)

De

Zulma

Littérature française

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  • Vendu par Librairie Pages d'encre
    25.90

Voici trois romans, chefs-d’œuvre d’humour noir aux rebondissements rocambolesques. On y retrouve tout l’univers de Pascal Garnier, à la fois tendre et cruel, habité de personnages dont le quotidien dérape pour des aventures qu’on trouve, d’ordinaire, à la page des faits divers.

Dans la Place du mort, un homme tranquille se découvre veuf… et trompé. Les Insulaires conte les retrouvailles hasardeuses de deux amants, coupables d’une folie homicide. Et dans Trop près du bord, on s’attache à Éliette, veuve sexagénaire isolée dans sa villa ardéchoise, qui s’acoquine bien malgré elle avec un petit truand frais sorti de prison.

Mais on n’a rien dit de l’art de Pascal Garnier si on oublie l’écriture, étonnamment visuelle, cousue de mots d’esprit et de croquis à main levée : le monde qui nous entoure est le plus mal connu, Garnier nous en restitue le fond humain d’une plume admirable.

Figure marquante de la littérature française contemporaine, Pascal Garnier (1949-2010) avait élu domicile dans un petit village en Ardèche pour se consacrer à l’écriture et à la peinture. Peintre d’atmosphère alliant la poésie d’Hardellet à la technique de Simenon, styliste du détail juste, il excelle dans la mise en scène pointilleuse des vies simples, celles du voisinage, des souvenirs d’enfant, des je me souviens qui tissent nos mémoires. Mais chez Pascal Garnier, ce beau calme des banlieues de l’âme et de l’époque prépare toujours d’effroyables orages, avec froissement de tôles et meurtres en série…

« Un tragique gagnant du Loto, un tueur à gage épuisé, un ange du bizarre déguisé en cuisinier… La prise du pouvoir du texte par les personnages : quelle plus belle réussite littéraire aurait pu imaginer ce petit garçon qui pensait que la réalité ne vaudrait jamais la fiction ? » Xavier Houssin, Le Monde
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