- EAN13
- 9782735126682
- ISBN
- 978-2-7351-2668-2
- Éditeur
- Maison des sciences de l'homme
- Date de publication
- 15/10/2020
- Nombre de pages
- 144
- Dimensions
- 29 x 4,3 cm
- Poids
- 966 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
Photographier les vodous
Togo-Bénin, 1988-2019
De Jean-Paul Colleyn, François Cheval
Photographies de Catherine De Clippel
Maison des sciences de l'homme
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Vendu par Librairie Pages d'encre39.50
Si certains musées, comme le musée de l'Homme (Jean Rouch), le Quai Branly
(Martin Gusinde) ou encore le musée d'Histoire naturelle (mission scientifique
du Cap Horn), ont consacré des expositions et des publications à l’œuvre
photographique d’ethnologues, apprentis ou confirmés, il n’existe aujourd’hui
que peu d’ouvrages consacrés à une photographie contemporaine, qui se
situerait au croisement de l’anthropologie, de la photo documentaire et de la
photo d’art. C’est dans cet espace interstitiel que les photographies de
Catherine De Clippel se déploient. Faite d’allers retours entre différentes
disciplines, cultures, et époques, sa pratique photographique s’est plus
particulièrement intéressée aux cultes vodous d’Afrique de l’Ouest. C’est en
collaborant, à la fin des années 1980, avec les anthropologues Marc Augé,
Jean-Paul Colleyn et Jean-Pierre Dozon, pour la réalisation d’une série de
films documentaires, que Catherine De Clippel se forme progressivement à
l’anthropologie et à ses pratiques. Elle en forgera une approche éminemment
personnelle du terrain et du médium photographique.
Le nouvel ouvrage que les éditions de la MSH consacrent au travail de
Catherine De Clippel réunira quatre-vingts photographies, prises entre la fin
des années 1980 et aujourd’hui, autour des cultes vodous au Togo et au Bénin,
entre continuités et évolutions. Cet ouvrage, s’il est avant tout un livre de
photographies, entend capter les différents aspects de l’œuvre photographique
de Catherine De Clippel, dont le regard a été fortement influencé – si ce
n’est ciselé – par son expérience du terrain ethnographique. De par sa
collaboration avec une équipe de chercheurs, son travail photographique rend
compte d’une véritable approche anthropologique de ses sujets. Un entretien
avec la photographe, ainsi que deux textes, l’un se penchant sur la dimension
historique, artistique et esthétique de ses images (écrit par le conservateur
de musée et commissaire d’exposition François Cheval), et l’autre sur leur
contexte anthropologique (Jean-Paul Colleyn, anthropologue) accompagneront les
photos.
(Martin Gusinde) ou encore le musée d'Histoire naturelle (mission scientifique
du Cap Horn), ont consacré des expositions et des publications à l’œuvre
photographique d’ethnologues, apprentis ou confirmés, il n’existe aujourd’hui
que peu d’ouvrages consacrés à une photographie contemporaine, qui se
situerait au croisement de l’anthropologie, de la photo documentaire et de la
photo d’art. C’est dans cet espace interstitiel que les photographies de
Catherine De Clippel se déploient. Faite d’allers retours entre différentes
disciplines, cultures, et époques, sa pratique photographique s’est plus
particulièrement intéressée aux cultes vodous d’Afrique de l’Ouest. C’est en
collaborant, à la fin des années 1980, avec les anthropologues Marc Augé,
Jean-Paul Colleyn et Jean-Pierre Dozon, pour la réalisation d’une série de
films documentaires, que Catherine De Clippel se forme progressivement à
l’anthropologie et à ses pratiques. Elle en forgera une approche éminemment
personnelle du terrain et du médium photographique.
Le nouvel ouvrage que les éditions de la MSH consacrent au travail de
Catherine De Clippel réunira quatre-vingts photographies, prises entre la fin
des années 1980 et aujourd’hui, autour des cultes vodous au Togo et au Bénin,
entre continuités et évolutions. Cet ouvrage, s’il est avant tout un livre de
photographies, entend capter les différents aspects de l’œuvre photographique
de Catherine De Clippel, dont le regard a été fortement influencé – si ce
n’est ciselé – par son expérience du terrain ethnographique. De par sa
collaboration avec une équipe de chercheurs, son travail photographique rend
compte d’une véritable approche anthropologique de ses sujets. Un entretien
avec la photographe, ainsi que deux textes, l’un se penchant sur la dimension
historique, artistique et esthétique de ses images (écrit par le conservateur
de musée et commissaire d’exposition François Cheval), et l’autre sur leur
contexte anthropologique (Jean-Paul Colleyn, anthropologue) accompagneront les
photos.
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