- EAN13
- 9782353741922
- ISBN
- 978-2-35374-192-2
- Éditeur
- Dualpha
- Date de publication
- 20/03/2011
- Collection
- Les chroniques barbares
- Séries
- Chroniques barbares (8)
- Dimensions
- 21 x 15 cm
- Poids
- 500 g
- Code dewey
- 320.9
8 - Sous haute surveillance politique (chroniques barbares viii)
Volume 8, Sous haute surveillance politique
Randa Philippe
Dualpha
Les chroniques barbares
Autres livres dans la même série
-
Chroniques barbares, 17, Le principe du tout à l'ego, Chroniques barbares XVIIPhilippe RandaDualpha23,00
-
Chroniques barbares, 15, Une démocratie hors de prix, Chroniques barbares n°15Philippe RandaDualpha23,00
Les chroniques de Philippe Randa, dont il nous livre le huitième volume, concernent une maladie durable. C’est celle de notre pays.Comment nommer ce mal ?Comme toutes les maladies graves, elle a plusieurs aspects. Elle atteint le corps et l’âme. Elle vient à la fois du corps et de l’âme.C’est la maladie d’un pays qui vit à crédit, mais c’est aussi et surtout la maladie d’un pays qui ne se respecte plus, c’est la maladie d’un pays qui accepte une immigration de peuplement et de remplacement, mais aussi qui dévalorise le travail manuel, c’est la maladie d’un pays qui donne des leçons de morale au monde entier et ne montre pourtant que l’exemple de l’assujétissement volontaire aux États-Unis, d’un pays ubuesque qui prétend réduire la criminalité tout en licenciant des compagnies de CRS, dont les gouvernants ont affiché la proposition de « travailler plus pour gagner plus », alors qu’ils n’ont en réalité su que faire venir plus d’étrangers pour faire baisser plus encore les salaires.C’est le drame d’un pays où les collusions entre les « élites », de droite comme de gauche et les grandes entreprises n’ont jamais été aussi flagrantes, jusqu’à devenir caricaturales.Oui, ces chroniques de l’année 2010, qui portent sur des événements que nous avons tous en mémoire, nous restituent un climat, une ambiance, celle d’une France qui s’oublie, qui oublie les rapports de force dans le monde, qui oublie la différence des civilisations.
S'identifier pour envoyer des commentaires.