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Papier - Fayard 29,00
Elle se voulait libre d'aimer et de peindre en un temps où seuls les hommes
pouvaient prétendre à mener une vie de bohème.
Qui était donc cette Suzanne Valadon, qui, au début du siècle, brave préjugés
et interdits par amour de son art ? Au-delà de tout scandale, sa vérité à elle
tenait en un seul mot : la peinture. De ce désir de vivre pleinement et sans
entrave naquit en effet - et quel qu'en fût le prix à payer pour elle et ses
proches - une oeuvre puissante et singulière trop méconnue aujourd'hui.
Pourtant, il n'est pas de livre sur le Montmartre de la Belle Epoque qui ne
parle de « Suzanne la folle » de la « mauvaise mère » d'Utrillo le maudit. Les
biographes de Toulouse-Lautrec ou d'Erik Satie évoquent la maîtresse du
peintre ou du musicien. Mais, à ce jour, en dehors de quelques monographies,
aucun ouvrage ne lui était entièrement consacré : Suzanne Valadon n'existait
qu'à travers les hommes de sa vie. La présente biographie romanesque vient
réparer cet étrange oubli.
pouvaient prétendre à mener une vie de bohème.
Qui était donc cette Suzanne Valadon, qui, au début du siècle, brave préjugés
et interdits par amour de son art ? Au-delà de tout scandale, sa vérité à elle
tenait en un seul mot : la peinture. De ce désir de vivre pleinement et sans
entrave naquit en effet - et quel qu'en fût le prix à payer pour elle et ses
proches - une oeuvre puissante et singulière trop méconnue aujourd'hui.
Pourtant, il n'est pas de livre sur le Montmartre de la Belle Epoque qui ne
parle de « Suzanne la folle » de la « mauvaise mère » d'Utrillo le maudit. Les
biographes de Toulouse-Lautrec ou d'Erik Satie évoquent la maîtresse du
peintre ou du musicien. Mais, à ce jour, en dehors de quelques monographies,
aucun ouvrage ne lui était entièrement consacré : Suzanne Valadon n'existait
qu'à travers les hommes de sa vie. La présente biographie romanesque vient
réparer cet étrange oubli.
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