Summer of scandals (en partenariat avec ARTE)

Chaque mois, ARTE propose une thématique inspirée de sa programmation et demande à une douzaine de libraires en France de proposer une sélection d'ouvrages en lien avec cette thématique. Pour ouvrir le bal, quoi de mieux qu'un peu de piment et d'interdit ? Découvrez notre sélection d'ouvrages sulfureux, en parallèle du "Summer of scandals" d'ARTE !

12,50

«Avec Justine, un homme du XVIIIᵉ siècle parle, un prisonnier vitupère, un philosophe argumente, tous ensemble, dans une symphonie agressive que notre oreille douillette, accoutumée à de trop douces harmonies peut-être, reçoit comme un coup de poing. C'est précisément dans ce choc que la vérité de Sade doit se trouver, dans l'hématome, la boursouflure, le filet de sang qui suinte de la plaie."Vous avez imaginé faire merveille (écrit-il à ses censeurs) en me réduisant à une abstinence atroce sur le péché de chair ; eh bien vous vous êtes trompés : vous avez échauffé ma tête, vous m'avez fait former des fantômes qu'il faudra que je réalise." Les menaces de Sade vont se concrétiser et les "fantômes", nés de son cerveau incendié par l'injustice, se mettre en marche, pour ne plus s'arrêter.Sade a 50 ans lorsqu'il écrit Justine ou Les malheurs de la vertu, il ne sait pas encore qu'il est écrivain. Il l'apprendra dans l'enfermement, ce qu'il appelle lui-même le "pressurage" de son isolement.»Noëlle Châtelet.


39,20

La biographie de référence sur Sade
"?Ma façon de penser, dites-vous, ne peut être approuvée. Et que m'importe?? Bien fou est celui qui adopte une façon de penser pour les autres?! Ma façon de penser est le fruit de mes réflexions : elle tient à mon existence, à mon organisation. Je ne suis pas le maître de la changer ; je le serais, que je ne le ferais pas. Cette façon de penser que vous blâmez fait l'unique consolation de ma vie ; elle allège toutes mes peines en prison, elle compose tous mes plaisirs dans le monde et j'y tiens plus qu'à la vie. Ce n'est point ma façon de penser qui a fait mon malheur, c'est celle des autres.?" D.A.F. de Sade
Quelle était donc cette façon de penser?? Qui était vraiment Sade?? Voici les questions auxquelles cette monumentale biographie tente de répondre. Fruit de décennies de recherches et de réflexions, enrichie de nombreux documents, dont plusieurs inédits, Sade vivant libère l'écrivain et ses écrits des fantasmagories qu'ils ont bien souvent suscitées. Et suscitent encore. Jean-Jacques Pauvert a été le premier éditeur au monde à avoir publié officiellement Sade, sous son nom. C'était en 1945. Depuis, celui qui allait devenir un des éditeurs les plus aventureux du xxe siècle n'a jamais cessé d'interroger cette ouvre qui fait de Sade "?l'un des cinq ou six génies universels de très grande dimension?". Cette nouvelle édition de Sade vivant peut être considérée comme la conclusion de ce long compagnonnage.
L'Auteur La (re)découverte de D.A.F de Sade, d'André Breton, de Pauline Réage, de Georges Bataille, de Raymond Roussel, de Boris Vian, de Darien, d'Annie Lebrun, de Guy Debord... la révélation des dessins de Chaval, de Topor, de Siné, de Wollinski... La série Libertés, la revue Bizarre, la collection "érotique"... les maquettes révolutionnaire de Faucheux, Darche, Massin... et le rire contre la censure, les multiples procès pour "outrage aux bonnes mours par la voie du livre"... l'esprit de la liberté, l'indépendance... bref?: Jean-Jacques Pauvert.


Les seventies ? voyage au c?ur des ténèbres

Rivages

11,00

A l'aube des années soixante-dix, le jeune Nick Kent rejoint le New Musical Express. Rapidement devenu la plume la plus prestigieuse de l'hebdomadaire anglais, il y signe des articles qui imposeront le titre comme une référence de la presse musicale. Son approche journalistique, l'implication maximale, amène Kent à fréquenter de près les Stones, Led Zeppelin, Iggy Pop, Bowie, les Sex Pistols, pour le meilleur et pour le pire. Apathy for the Devil raconte son histoire, de l'ascension à la chute. Comme l'écriture de Kent lui-même qui manie, avec brio humour et panache dans ce livre fulgurant. Plus que London Calling ou Brown Sugar, plus que les aliens de Bowie ou les éructations de Johnny Rotten, les écrits de Nick Kent personnifient les seventies. (Sam Wolfson, New Musical Express) Kent s'e


Les interdits de la bd erotique

Collectif

Beaux Arts Ed


25,35